Blümchen de Christiane Dahlbeck sur gaze de soie noir

 

 

Amis du jour... bonjour !

 

Souvenez-vous, j'avais rencontré Laurence l'année dernière et je n'avais pas fini l'ensemble de brodeuse que je lui avais offert.

( Je ne vous raconte plus que nous nous connaissons toutes les deux via nos blogs depuis 5 ans maintenant, vous le savez maintenant !   )

En fait, ce que j'avais encore sur le tambour, c'était un ouvrage qui devait servir à recouvrir un métre-ruban qui s'enroule tout seul.

Sauf que, évidement, il faut toujours un "sauf" ou un "mais",

sinon, ce ne serai pas drôle !

Je m'étais lamentablement trompée dans les mesures, grande quiche que je suis ! :o)))

J'ai donc recommencé et là à nouveau ce fameux "sauf que"qui intervient, je n'avais plus assez de ce superbe fil de Stef Francis pour finir. Et là re-grande quiche que je suis ! :o)))

J'ai donc tenté d'en retrouver, de bidouiller, de tritouiller bref pour finalement tout mettre à la poubelle tellement ça m'a ennervé !

Alors que faire ?

J'ai finalement décidé de broder tout à fait autre chose, mais quoi ?

C'est que j'en ai commencé des trucs, tous superbes mais ce n'était pas ce que je ressentais pour mon amie.

Jusqu'au jour où j'ai découvert ce petit livre de Christiane Dahlbeck et ces deux petites maisons reliées par une magnifique guirlande de cœurs.

 

 

Pile poil ce que je vivais avec mon amie Laurence !

Du coup, tout c'est très rapidement goupillé, les fils, la toile...ou plutôt la gaze.

 

 

Gaze de soie noir 16 fils/cm que j'ai brodé en 1/1.

 

 

L'ouvrage n'est pas plus grand qu'une paire de ciseaux de brodeuse mais

immense en symboles et émotions...

 

 

J'ai bien suer pour prendre les photos !

 

 

Oui, oui, c'est bien moi, là, dans le cadre !

 

 

Quel plaisir de broder cet ouvrage...

 

 

 

De plus, elle avait son anniversaire cette semaine, j'en ai donc profité pour glisser dans le paquet des tissus, des fils et des dentelles pour lui aider à souffler les bougies.

Je vous laisse les voir dans son article et la saluer.

 

Vous vous en doutez bien que c'est avec un grand pincement au cœur que

j'ai écrit cet article...800 kilomètres nous séparent...

 

Ma Laurence, j'espère que j'aurai un jour l'occasion de t'aider à arroser les fleurs...

 

Un tout grand merci à vous qui me laissez partger avec vous ce qui me tient à coeur.

Je vous embrasse encore deux fois plus que d'habitude et

vous souhaite une bonne fin de semaine.

A bientôt

 

Angélique

ou

 

 

 

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